Liban

Le Hezbollah a effectué un exercice à grande échelle de trois jours au Sud-Liban peu de temps après les importantes manœuvres de Tsahal en Galilée.

L’exercice, qui a duré trois jours, visait à envoyer un message de dissuasion à Israël et à faire savoir que le Hezbollah a rétabli ses capacités opérationnelles détériorées durant la seconde guerre du Liban, y compris son potentiel de roquettes.
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Réussite pour le gouvernement de Fuad Siniora : victoire sur Fatah Al-Islam, la branche d’Al-Qaïda au Liban, après trois mois et demi de combats.

Le 2 septembre 2007, trois mois et demi de combats entre l’armée libanaise et le Fatah al-Islam (débutés le 20 mai) ont pris fin. Les combats ont été les plus acharnés d’une série de confrontations locales qui se sont déroulées au cours de l’année écoulée entre les forces de sécurité libanaises et des groupes du
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Un an après le vote de la Résolution 1701 du Conseil de Sécurité qui a mis fin à la seconde guerre du Liban : rapport intérimaire

La Résolution 1701 du Conseil de Sécurité de l’ONU, votée le 12 août 2006, a marqué la fin de la seconde guerre du Liban et a créé une nouvelle situation sur le terrain au Sud-Liban. Après une année, sa mise en œuvre est ambiguë.
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Premiers tirs de roquettes sur Kiryat Shmona depuis la fin de la seconde guerre du Liban

Le 17 juin 2007, trois roquettes ont été tirées depuis la région de Taybeh-Addayseh sur Kiryat Shmona. Il s’agit du premier incident du genre depuis la fin de la seconde guerre du Liban. Il n’y a pas eu de blessés, toutefois, des biens ont été endommagés. Le Hezbollah a démenti toute implication dans l’attaque. Selon
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L’affrontement au Nord du Liban entre l’armée libanaise et le Fatah al-Islam, branche d’Al Qaida au Liban

Entre le 20 et le 24 mai, des combats intenses ont eu lieu entre l’armée libanaise et l’organisation terroriste se faisant appeler Fath al-Islam. Ces combats ont eu lieu dans la ville de Tripoli qui se trouve au Nord du Liban, et dans le camp de réfugiés de Nahr al-Bared dans les faubourgs de la
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L’application de la Résolution 1701 du Conseil de Sécurité 6 mois après

L’étude de la mise en œuvre de la Résolution 1701 du Conseil de Sécurité six mois après son adoption, montre une application partielle et révèle que l’armée libanaise et la FINUL n’ont pas appliqué ses dispositions principales.
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Liban

Le Liban est un petit pays comptant 4,1 millions d’habitants. Le Liban est situé sur les rives de la Méditerranée, entouré d’Israël au Sud et de la Syrie à l’Est. Le Liban a reçu l’indépendance le 22 novembre 1943. En raison de la composition ethnique particulière au Liban, l’histoire du pays est fluctuée de conflits et de guerres civils entre religions et ethnies qui composent la population. Depuis l’indépendance, le Liban a adopté une méthode politique unique, basée sur un système équilibré entre les différentes ethnies et dans le cadre de laquelle la démocratie parlementaire repose sur une base ethnique/religieuse alors que les hautes fonctions au Liban sont attribuées selon des critères ethniques agrées dans la Constitution de 1943. 
La complexité sociale du Liban, la faiblesse du pouvoir central et les écarts économiques et sociaux entre les ethnies ont provoqué la création de nombreux groupes armés partisans/ethniques dans le pays, et certains ont adopté le terrorisme. Le principal est l’organisation terroriste chiite Hezbollah, créée durant l’Etat 1982 pendant la Première guerre du Liban. En plus d’être une organisation terroriste fidèle à la direction iranienne, le Hezbollah est également impliqué dans le système politique du Liban.
Le Liban a toujours servi d’arène d’ingérence des foyers de puissance extérieurs, moyen-orientaux et internationaux. Aujourd’hui, l’implication de l’Iran et de la Syrie prédominent, ces derniers aidant à l’armement, au financement et à l’entraînement des membres du Hezbollah. Depuis la Seconde guerre du Liban (2006), un calme relatif règne à la frontière libano-israélienne et est mis à profit pour plébisciter le processus de renforcement militaire du Hezbollah, en opposition aux décisions du Conseil de sécurité de l’ONU.