Iran

Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (8-14 janvier 2020)

La semaine dernière, aucune marche du retour n'a eu lieu dans la bande de Gaza. Plusieurs dizaines de manifestants palestiniens se sont rassemblés près de la barrière frontalière à deux endroits. Aucun événement exceptionnel n'a été signalé. La semaine dernière, l'unité des Fils d'Al-Zawari (qui lance des ballons incendiaires et des engins piégés en territoire israélien) a annoncé sur sa page Facebook qu'elle renouvelait ses activités. Elle a indiqué que le premier lot de ballons incendiaires et d'engins piégés avait été lancé.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (1-7 janvier 2020)

Dans les jours qui ont suivi l'élimination de Qassem Soleimani, la bande de Gaza est restée presque totalement silencieuse. Le journal londonien al-Sharq al-Awsat a rapporté que de hauts responsables du Hamas avaient clairement fait savoir à l'Égypte qu'ils n'avaient aucun intérêt à une escalade dans la bande de Gaza à la suite de l'incident (al-Sharq al-Awsat, 5 janvier 2020).
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Iran

“L’exportation” de la Révolution musulmane de l’Iran est le principe de base de la Révolution iranienne dès son commencement. L’Iran aspire à l’hégémonie régionale et à prendre la tête du monde islamique. A cette fin, l’Iran développe un réseau de liens avec des organisations clandestines et de groupes terroristes et avec les communautés islamiques (notamment chiites) du monde et du Moyen-Orient. Dans ce cadre, l’Iran œuvre dans les pays d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Asie, etc.
Un des outils principaux de l’Iran pour exporter la Révolution est le soutien aux pays et organisations pratiquant le terrorisme contre des intérêts israéliens, américains et occidentaux et qui œuvrent sous des régimes pro-occidentaux dans l’objectif de promouvoir les intérêts de l’Iran.
Les liens de l’Iran et d’Israël ont connu des hauts et des bas. Lors du régime du Shah, une alliance politique reliait les deux pays. Après la Révolution et la création de la République islamique d’Iran, l’Iran a cessé de reconnaître Israël et a rompu tous ses liens officiels avec. La position extrémiste de Khomeiny envers Israël et le sionisme a été exprimée à de nombreuses reprises en public dès son retour d’exil d’Iran. Les liens sont devenus encore plus tendus avec l’arrivée au pouvoir d’Ahmadinejad en Iran en 2005. Le régime iranien a affiché son intention d’annihiler Israël et adopte une politique antisémite, y compris de négation de l’Holocauste.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique anti-israélienne, l’Iran développe ses liens avec les organisations terroristes opérant contre Israël. L’Iran encourage les organisations terroristes palestiniennes, notamment le Jihad Islamique Palestinien et le Hezbollah à commettre des attentats contre Israël. A cette fin, l’Iran se charge du financement et de l’armement de ces organisations. Ces dernières années, plusieurs expéditions d’armes d’Iran destinées à l’armement des organisations terroristes ont été saisies.
Afin de promouvoir ses intérêts régionaux et mondiaux, l’Iran œuvre à développer une puissance nucléaire militaire et met au point des missiles à longue portée et des têtes de missiles pouvant toucher Israël, les pays du Moyen-Orient et d’Europe depuis l’Iran.