Iran

Vive condamnation de l’Iran pour son soutien au terrorisme et désignation du Hezbollah comme organisation terroriste à une réunion d’urgence de la Ligue arabe au Caire

Le 19 novembre 2017, les ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe ont organisé une réunion d'urgence au Caire à la demande de l'Arabie Saoudite. La réunion a porté sur l'ingérence de l'Iran dans les affaires intérieures des Etats arabes. L'Arabie saoudite s'est plainte du tir d'un missile balistique sur son territoire par les Houthis, soutenus par l'Iran. Bahreïn s'est plaint d'activités terroristes menées sur son territoire par des groupes soutenus par l'Iran, y compris une cellule récemment démantelée qui prévoyait de faire exploser des installations pétrolières.
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Pleins feux sur le jihad mondial (16–22 novembre 2017)

Cette semaine a marqué la fin de l'État islamique en Syrie et en Irak, qui a été déclaré par le chef de l'Etat islamique le 29 juin 2014. L'armée syrienne, avec l'appui de l'Iran, du Hezbollah, des milices chiites et de l'armée de l'air russe, a repris la ville d'Abu Kamal, le dernier bastion de l'État islamique en Syrie (19 novembre 2017). Deux jours plus tôt, l'armée irakienne a repris la ville de Rawa, le dernier bastion de l'État islamique en Irak (17 novembre 2017).
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Pleins feux sur le jihad mondial (9–15 novembre 2017)

Dans la ville d'Abu-Kamal, une violente bataille a été menée dans le dernier bastion de l'État islamique en Syrie. Les forces syriennes ont repris la ville (et n'ont pas tardé à annoncer l'achèvement de la libération) mais ont été forcées de la quitter en raison d'une contre-attaque des membres de l'Etat islamique cachés dans des tunnels qu'ils avaient creusés dans le centre-ville. Les forces syriennes et les milices chiites qui les soutiennent se préparent en vue d'une autre attaque sur Abu-Kamal.
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Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (18-24 octobre 2017)

La semaine a été relativement calme. Une attaque à la voiture bélier a apparemment été empêchée dans le centre d'Israël et une attaque à l'arme blanche a été déjouée au carrefour du Gush Etzion. Le calme a régné dans la bande de Gaza. La mise en œuvre de la réconciliation Hamas-Fatah a continué, même si les hauts responsables du Hamas ont affirmé leur refus de discuter de l'avenir de la branche armée de l'organisation et de ses armes.
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Pleins feux sur le jihad mondial (31 août – 6 septembre 2017)

L'Etat islamique continue de subir des revers : En Syrie - Le 1er septembre 2017, les FDS ont annoncé avoir achevé la reprise de la vieille ville d'Al-Raqqah et contrôlent désormais 65 % de la ville. En même temps, les forces du régime syrien et ses partisans, avec le soutien de la Russie, ont continué d'avancer vers Deir ez-Zor.
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Pleins feux sur le jihad mondial (24-30 août 2017)

Cette semaine, l'État islamique a subi deux revers, qui s'ajoutent à une série d'échecs. L'organisation a été forcée d'accepter un cessez-le-feu avec le Hezbollah, en vertu duquel elle a évacué ses membres des montagnes Qalamoun à l'Ouest (frontière syro-libanaise).
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Iran

“L’exportation” de la Révolution musulmane de l’Iran est le principe de base de la Révolution iranienne dès son commencement. L’Iran aspire à l’hégémonie régionale et à prendre la tête du monde islamique. A cette fin, l’Iran développe un réseau de liens avec des organisations clandestines et de groupes terroristes et avec les communautés islamiques (notamment chiites) du monde et du Moyen-Orient. Dans ce cadre, l’Iran œuvre dans les pays d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Asie, etc.
Un des outils principaux de l’Iran pour exporter la Révolution est le soutien aux pays et organisations pratiquant le terrorisme contre des intérêts israéliens, américains et occidentaux et qui œuvrent sous des régimes pro-occidentaux dans l’objectif de promouvoir les intérêts de l’Iran.
Les liens de l’Iran et d’Israël ont connu des hauts et des bas. Lors du régime du Shah, une alliance politique reliait les deux pays. Après la Révolution et la création de la République islamique d’Iran, l’Iran a cessé de reconnaître Israël et a rompu tous ses liens officiels avec. La position extrémiste de Khomeiny envers Israël et le sionisme a été exprimée à de nombreuses reprises en public dès son retour d’exil d’Iran. Les liens sont devenus encore plus tendus avec l’arrivée au pouvoir d’Ahmadinejad en Iran en 2005. Le régime iranien a affiché son intention d’annihiler Israël et adopte une politique antisémite, y compris de négation de l’Holocauste.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique anti-israélienne, l’Iran développe ses liens avec les organisations terroristes opérant contre Israël. L’Iran encourage les organisations terroristes palestiniennes, notamment le Jihad Islamique Palestinien et le Hezbollah à commettre des attentats contre Israël. A cette fin, l’Iran se charge du financement et de l’armement de ces organisations. Ces dernières années, plusieurs expéditions d’armes d’Iran destinées à l’armement des organisations terroristes ont été saisies.
Afin de promouvoir ses intérêts régionaux et mondiaux, l’Iran œuvre à développer une puissance nucléaire militaire et met au point des missiles à longue portée et des têtes de missiles pouvant toucher Israël, les pays du Moyen-Orient et d’Europe depuis l’Iran.