Iran

Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (8-14 janvier 2020)

La semaine dernière, aucune marche du retour n'a eu lieu dans la bande de Gaza. Plusieurs dizaines de manifestants palestiniens se sont rassemblés près de la barrière frontalière à deux endroits. Aucun événement exceptionnel n'a été signalé. La semaine dernière, l'unité des Fils d'Al-Zawari (qui lance des ballons incendiaires et des engins piégés en territoire israélien) a annoncé sur sa page Facebook qu'elle renouvelait ses activités. Elle a indiqué que le premier lot de ballons incendiaires et d'engins piégés avait été lancé.
Lire la suite...

Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (1-7 janvier 2020)

Dans les jours qui ont suivi l'élimination de Qassem Soleimani, la bande de Gaza est restée presque totalement silencieuse. Le journal londonien al-Sharq al-Awsat a rapporté que de hauts responsables du Hamas avaient clairement fait savoir à l'Égypte qu'ils n'avaient aucun intérêt à une escalade dans la bande de Gaza à la suite de l'incident (al-Sharq al-Awsat, 5 janvier 2020).
Lire la suite...

Nouvelles du terrorisme et Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (17-23 juillet 2019)

Le vendredi 19 juillet 2019, la marche du retour dans la bande de Gaza a eu lieu avec environ 6 500 participants (semblable à la semaine précédente). Les actes de violence comprenaient des tentatives de sabotage de la barrière de sécurité, ainsi que des lancers d'engins piégés, de grenades et de cocktails Molotov. De nombreux drapeaux israéliens ont été brûlés. La portée des ballons incendiaires et des engins piégés lancés en territoire israélien a continué de diminuer, mais les lancers se poursuivent.
Lire la suite...

Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien (17-30 avril 2019)

Dans la bande de Gaza, 6 000 à 7 000 Palestiniens ont participé aux marches du retour des vendredis19 et 26 avril, sur les cinq sites habituels. Le niveau de violence est resté relativement faible, bien que plusieurs tentatives aient été faites de franchir la barrière frontalière et de lancer des engins piégés sur les forces de l’armée.
Lire la suite...

Pleins feux sur le jihad mondial (17 septembre – 3 octobre 2018)

Le 17 septembre 2018, le Président russe Vladimir Poutine et le Président turc Recep Tayyip Erdoğan se sont rencontrés à Sotchi, en Russie. Les entretiens ont porté sur l’attaque prévue par le régime syrien contre les organisations rebelles dans la région d’Idlib, dont les préparatifs sont presque terminés. Selon l'accord conclu, une zone démilitarisée de 15 à 20 km de large sera créée dans la région d'Idlib, séparant les zones contrôlées par l'armée syrienne des zones contrôlées par les organisations rebelles. Selon l'accord, la zone démilitarisée sera établie d'ici le 15 octobre 2018 et les armes lourdes des organisations rebelles seront retirées le 10 octobre.
Lire la suite...

Pleins feux sur le jihad mondial (6-16 septembre 2018)

Dans la région d'Idlib, les préparatifs de la campagne imminente se poursuivent. Ces préparatifs comprennent le renforcement continu du Nord de la Syrie et de la frontière turco-syrienne par les différentes parties (l'armée syrienne, l'armée turque, le Hezbollah et les milices chiites gérées par l'Iran). En même temps, la Russie et l'armée syrienne, concentrées dans le Sud de la région d'Idlib, ont mené des attaques aériennes et des attaques d'artillerie intensives. Dans la région d'Idlib et dans la zone rurale à l'Ouest d'Alep, des manifestations à grande échelle ont été organisées en faveur des organisations rebelles.
Lire la suite...

Recherche de publications des années précédentes

202020192018201720162015201420132012201120102009200820072006

Iran

“L’exportation” de la Révolution musulmane de l’Iran est le principe de base de la Révolution iranienne dès son commencement. L’Iran aspire à l’hégémonie régionale et à prendre la tête du monde islamique. A cette fin, l’Iran développe un réseau de liens avec des organisations clandestines et de groupes terroristes et avec les communautés islamiques (notamment chiites) du monde et du Moyen-Orient. Dans ce cadre, l’Iran œuvre dans les pays d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Asie, etc.
Un des outils principaux de l’Iran pour exporter la Révolution est le soutien aux pays et organisations pratiquant le terrorisme contre des intérêts israéliens, américains et occidentaux et qui œuvrent sous des régimes pro-occidentaux dans l’objectif de promouvoir les intérêts de l’Iran.
Les liens de l’Iran et d’Israël ont connu des hauts et des bas. Lors du régime du Shah, une alliance politique reliait les deux pays. Après la Révolution et la création de la République islamique d’Iran, l’Iran a cessé de reconnaître Israël et a rompu tous ses liens officiels avec. La position extrémiste de Khomeiny envers Israël et le sionisme a été exprimée à de nombreuses reprises en public dès son retour d’exil d’Iran. Les liens sont devenus encore plus tendus avec l’arrivée au pouvoir d’Ahmadinejad en Iran en 2005. Le régime iranien a affiché son intention d’annihiler Israël et adopte une politique antisémite, y compris de négation de l’Holocauste.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique anti-israélienne, l’Iran développe ses liens avec les organisations terroristes opérant contre Israël. L’Iran encourage les organisations terroristes palestiniennes, notamment le Jihad Islamique Palestinien et le Hezbollah à commettre des attentats contre Israël. A cette fin, l’Iran se charge du financement et de l’armement de ces organisations. Ces dernières années, plusieurs expéditions d’armes d’Iran destinées à l’armement des organisations terroristes ont été saisies.
Afin de promouvoir ses intérêts régionaux et mondiaux, l’Iran œuvre à développer une puissance nucléaire militaire et met au point des missiles à longue portée et des têtes de missiles pouvant toucher Israël, les pays du Moyen-Orient et d’Europe depuis l’Iran.