Le Hezbollah n’envisage pas de rendre les armes : le dirigeant du mouvement, Hassan Nasrallah, a insisté dans une interview télévisée sur le refus de l’organisation d’être désarmée ainsi que le prévoient les Accords de Taëf (1989) et la Résolution 1559 du
Nasrallah a expliqué que le Hezbollah avait besoin de ses armes pour « défendre » le Liban aux côtés de l’armée libanaise face aux « agressions » israéliennes. Le Secrétaire général du Hezbollah a tempéré son refus en adoptant une attitude positive et modérée, se déclarant prêt à entamer un dialogue (ou un débat) avec
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